Que la musique m’inonde.
Que la musique inonde les rues et dépose sa couverture d’exil sur tous les lieux communs.
Qu’elle taise tout le bruit qui me pique les yeux. Que Paris soit son esclave, symphonie d’hirondelles et de lumières opaques.
Couvre encore mon sort.
Epaissit les fluides.
Je sens une guerre plus folle encore poindre derrière leur sourire.
Même au bout de la nuit, il n’y a rien pour eux.